Accidents de la vie
Accidents de la vie : votre indemnisation est notre priorité
Comprendre les accidents de la vie courante
Chute dans un escalier, brûlure domestique, morsure de chien, blessure sportive, accident de bricolage, ou encore noyade : ces événements du quotidien, parfois graves, constituent ce qu’on appelle les accidents de la vie courante.
Ils peuvent survenir à tout moment, en dehors du cadre professionnel ou de la circulation routière, et bouleverser la vie d’une personne en quelques secondes.
On estime que chaque année en France, près de 11 millions de personnes sont victimes d’un accident de la vie, dont plusieurs centaines de milliers nécessitent une hospitalisation prolongée, et plusieurs milliers gardent des séquelles lourdes, voire un handicap définitif. Face à ces drames, une question cruciale se pose : comment se faire indemniser ?
Une indemnisation souvent méconnue… mais possible
Beaucoup de victimes ignorent qu’il est possible d’être indemnisé, même lorsqu’aucun tiers responsable n’est clairement identifié. C’est notamment le rôle des contrats GAV (garantie accidents de la vie), proposés par certaines compagnies d’assurance. Ces contrats permettent de recevoir une indemnisation pour les préjudices corporels subis à la suite d’un accident non fautif.
Cependant, l’accès à cette indemnisation est loin d’être automatique. Il suppose une lecture rigoureuse du contrat, une constitution solide du dossier, et parfois une confrontation avec des assureurs peu enclins à verser de justes réparations. C’est ici qu’intervient le Cabinet AZOULAY & BEVILACQUA.
Notre mission : faire reconnaître vos droits et obtenir une réparation intégrale
Depuis des années, Maître Warren AZOULAY et Maître Julien BEVILACQUA assurent la défense des victimes de dommages corporels. Le Cabinet AZOULAY & BEVILACQUA propose un savoir-faire juridique pointu, une connaissance fine du fonctionnement des assurances, et un accompagnement humain à chaque étape de votre parcours.
- Étude approfondie de votre contrat GAV (s’il existe) ou recherche de tout autre recours possible (responsabilité d’un tiers, produit défectueux, responsabilité de l’État, etc.)
- Identification des garanties activables
- Anticipation des obstacles juridiques ou contractuels
- Collecte des pièces médicales, expertises, factures, justificatifs
- Rédaction de courriers stratégiques à destination des compagnies d’assurance
- Préparation à l’expertise médicale (ou contre-expertise si besoin)
- Présence d’un médecin-conseil de victimes, indépendant de l’assureur, pour que vos douleurs, séquelles et besoins soient pleinement pris en compte
- Présence d’un avocat pour garantir le respect du contradictoire et défendre vos intérêts
- Évaluation indépendante de vos préjudices selon la nomenclature Dintilhac (préjudice professionnel, souffrances endurées, incidence sur la vie personnelle, frais futurs, etc.)
- Négociation avec l’assureur pour maximiser votre indemnisation
- Recours judiciaire si l’offre est manifestement insuffisante ou injuste
Pourquoi faire appel au Cabinet AZOULAY & BEVILACQUA ?
Une compétence certaine en réparation du dommage corporel
Nous n’intervenons que pour les victimes, jamais pour les compagnies d’assurance, ce qui nous confère une totale indépendance dans la défense de vos intérêts.
Notre cabinet a l’habitude de traiter des dossiers complexes, parfois face à des compagnies réticentes ou dans des situations où le droit à indemnisation est contesté.
Un accompagnement humain, au plus proche de vos besoins
Derrière chaque dossier, il y a une personne, une histoire, un quotidien bouleversé.
Nous avons à cœur d’établir une relation de confiance, de vous écouter, de vous expliquer chaque étape, et surtout, de vous décharger au maximum des formalités administratives et juridiques.
Un savoir-faire reconnu en stratégie d’indemnisation
Grâce à notre expérience, nous savons comment défendre au mieux la valeur de votre préjudice. Il ne s’agit pas simplement d’accepter une somme : il s’agit d’obtenir une indemnisation juste, équitable et conforme à vos besoins réels, présents et futurs.
Quels types de préjudices sont indemnisables après un accident de la vie ?
La nomenclature Dintilhac, qui fait référence en matière d’indemnisation du dommage corporel, permet de classifier les différents postes de préjudices indemnisables. Voici les principaux :
- Frais médicaux et pharmaceutiques
- Frais d’hospitalisation
- Pertes de revenus pendant l’arrêt de travail
- Souffrances endurées
- Déficit fonctionnel temporaire (impossibilité de mener une vie normale)
- Perte de revenus futurs
- Besoins en aide humaine à domicile
- Aménagement du logement ou du véhicule
- Prothèses, appareillage
- Déficit fonctionnel permanent
- Préjudice esthétique
- Préjudice d’agrément (impossibilité de pratiquer ses loisirs ou perte de la qualité de vie)
- Préjudice sexuel
- Préjudice d’établissement (impossibilité de fonder une famille)
- Préjudices exceptionnels (carrière artistique, vie spirituelle…)
D’autres préjudices, en dehors de cette nomenclature, existent également et doivent être défendus.
Exemples concrets d’accompagnement
Contexte : Monsieur D., 35 ans, participe à un stage de canyoning encadré par un professionnel. Une mauvaise consigne entraîne une chute contre une paroi. Résultat : traumatisme crânien et plusieurs mois d’arrêt de travail.
Problématique : Le moniteur nie toute faute, et la compagnie d’assurance du club refuse d’engager sa garantie.
Action du cabinet : Nous avons obtenu une expertise judiciaire qui a mis en lumière une négligence dans les mesures de sécurité (absence de repérage du terrain). La responsabilité du club a été reconnue et une transaction a été conclue à hauteur de 130 000 €.
Résultat : Reconnaissance d’une responsabilité du club, réparation intégrale du préjudice professionnel, et indemnisation des souffrances physiques et psychologiques.
Contexte : L’enfant de Madame T., âgé de 6 ans, est mordu au visage par le chien d’un voisin, sans provocation. Il subit plusieurs points de suture et reste marqué physiquement et psychologiquement.
Problématique : Le voisin reconnaît les faits mais tarde à déclarer le sinistre à son assureur. Les parents ne savent pas à qui s’adresser.
Action du cabinet : Nous avons immédiatement identifié la compagnie d’assurance du voisin et formé une demande. Une expertise a été demandée, en présence d’un médecin conseil de la victime, permettant de démontrer le traumatisme psychologique durable.
Résultat : L’enfant a été indemnisé à hauteur de 48 000 €, incluant le préjudice esthétique, le préjudice d’agrément (refus d’aller à l’école), et les souffrances endurées. Les frais d’accompagnement psychologique ont également été pris en charge.
Contexte : Madame G., 58 ans, chute dans l’escalier de la maison de son fils alors qu’elle était en visite. Elle se fracture le bassin, subit plusieurs interventions chirurgicales, et perd en autonomie.
Problématique : L’accident s’est produit sans faute manifeste d’un tiers. La compagnie d’assurance auprès de laquelle elle avait souscrit un contrat Garantie Accidents de la Vie (GAV) a refusé l’indemnisation, arguant que le taux de séquelles était insuffisant.
Action du cabinet : Nous avons sollicité une expertise indépendante, démontré la perte d’autonomie réelle, et réuni des attestations sur les conséquences au quotidien.
À l’issue d’une phase de négociation ferme, l’assureur a révisé sa position et nous avons débloqué une indemnisation de 65 000 €.
Résultat : Indemnisation de l’ensemble des postes de préjudice : souffrances endurées, préjudice esthétique, perte de qualité de vie, aide humaine temporaire.
Contexte : Monsieur L., ouvrier retraité, se blesse en perçant une planche de bois chez lui. Sa main est atteinte, ce qui l’empêche de poursuivre ses activités quotidiennes de manière autonome.
Problématique : Il ne pensait pas que sa blessure « personnelle » pouvait ouvrir droit à indemnisation. Son contrat GAV couvrait pourtant parfaitement ce type d’accident.
Action du cabinet : Nous avons fait valoir les clauses du contrat et obtenu une expertise favorable. L’assureur proposait initialement 10 000 €.
Après négociation, une indemnisation de 82 000 € a été obtenue.
Résultat : Reconnaissance d’un préjudice fonctionnel durable, prise en charge de l’aide à domicile, indemnisation des souffrances physiques et de pertes de gains professionnels.
Contexte : Madame R., 47 ans, glisse dans une grande surface à cause d’un sol mouillé et se fracture le col du fémur.
Problématique : Le magasin nie toute responsabilité et prétend avoir respecté les obligations de sécurité.
Action du cabinet : Nous avons démontré un manquement aux obligations de prévention. Une mise en cause judiciaire a été initiée, et une expertise médicale a été réalisée.
Résultat : Une indemnisation de 185 000€ a pu être obtenue, intégrant notamment une perte de revenus, le préjudice esthétique, la souffrance psychologique liée à la perte d’autonomie, et un besoin en aide humaine afin de réaliser les actes de la vie courante (ménage, courses, etc.)
Un premier rendez-vous sans engagement. Nous savons que la période post-accident est souvent confuse, douloureuse, et marquée par l’incertitude. C’est pourquoi nous vous proposons un premier rendez-vous sans engagement, pour analyser votre situation et vous indiquer les démarches à suivre.
Un accident de la vie n’est jamais anodin. Quelles qu’en soient les circonstances, il mérite une prise en charge sérieuse et humaine. Le Cabinet AZOULAY & BEVILACQUA est à vos côtés pour faire valoir vos droits et obtenir une réparation complète et juste. Votre vie vaut plus qu’une simple offre forfaitaire de compagnie d’assurance. Si vous avez été victime d’un accident de la vie, contactez-nous.